Christophe - Aline
J’avais dessiné
sur le sable
son doux visage
qui me souriait.
Puis il a plu
sur cette plage,
dans cet orage
elle a disparu.
Et j’ai crié, crié,
Aline,
pour qu’elle revienne,
et j’ai pleuré, pleuré,
oh j’avais trop de peine.
Je me suis assis
auprès de son âme,
mais la belle dame
s’était enfuie.
Je l’ai cherché
sans plus y croire,
et sens un espoir
pour me guider.
Et j’ai crié, crié,
Aline,
pour qu’elle revienne,
et j’ai pleuré, pleuré,
oh j’avais trop de peine.
Je n’ai gardé,
que ce doux visage
comme une épave
sur le sable mouillé.
Et j’ai crié, crié,
Aline,
pour qu’elle revienne,
et j’ai pleuré, pleuré,
oh j’avais trop de peine.
Et j’ai crié, crié,
Aline,
pour qu’elle revienne,
et j’ai pleuré, pleuré,
oh j’avais trop de peine.
Et j’ai crié, crié,
Aline,
pour qu’elle revienne...
He dibujado
sobre la arena
su dulce rostro
que me sonreía.
Después ha llovido
sobre la playa,
en la tempestad
ella desapareció.
Y yo grité, grité,
Aline,
para que ella volviera,
y yo lloré, lloré,
oh, estaba muy apenado.
Yo me senté
cerca de su alma,
pero lo bella dama
se me escapó.
Yo la busqué
sin esperar encontrarla,
y sin una esperanza
que me guiara.
Y yo grité, grité,
Aline,
para que ella volviera,
y yo lloré, lloré,
oh, estaba muy apenado.
No he conservado más
que su dulce cara
por todo resto
sobre la arena mojada.
Y yo grité, grité,
Aline,
para que ella volviera,
y yo lloré, lloré,
oh, estaba muy apenado.
Y yo grité, grité,
Aline,
para que ella volviera,
y yo lloré, lloré,
oh, estaba muy apenado.
Y yo grité, grité,
Aline,
para que ella volviera...